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Mort de Rébecca Lévesque au Centre jeunesse de Lévis

Peu de détails entourent à l’heure actuelle le décès d’une adolescente de 15 ans, survenu dimanche au Centre jeunesse de Lévis. Le corps inanimé de la jeune fille a été retrouvé peu après 10 h 30, a confirmé Alain Gelly, porte-parole pour le Service de police de la Ville de Lévis.

Rébecca Lévesque est morte d'une violente septicémie le 13 février dernier au Centre jeunesse Chaudière-Appalaches.

Elle avait été mise en cellule d'isolement, pour que personne n'entende plus ses appels à l'aide et ne tente de l'emmener à l'hopital comme avaient tenter de faire 10 de ses compagnes d'infortune kidnappés et détenus dans le même centre.

Agence QMI
14/02/2011 10h07 - Mise à jour 14/02/2011

http://fr.canoe.ca/infos/societe/archives/2011/02/20110214-100711.html

«On parle d’un décès dont la cause est inconnue. Toutes les hypothèses sont envisageables. On parle d’une jeune fille qui s’était plainte de problèmes de santé», a avancé le policier.

Samedi soir, l'adolescente était revenue d'une sortie et elle aurait été malade par la suite.

La police de Lévis et le bureau du coroner ont ouvert une enquête.

Les premiers résultats d'autopsie ont simplement permis de conclure que le corps de la jeune fille ne portait aucune trace de violence.

Les résultats d'analyses plus poussées, comme les analyses toxicologiques, ne seront connus que dans quatre à six semaines.

Les jeunes du Centre jeunesse de Chaudière-Appalaches de Lévis, où habitait la victime, sont sous le choc.

Décès de Rébecca Lévesque dans un centre jeunesse: seule face à la mort

MATTHIEU BOIVIN

Le Soleil, le 22 septembre 2011 

Dans un accablant rapport du coroner qui sera rendu public jeudi, on apprend que le personnel du Centre jeunesse Chaudière-Appalaches n'a fait aucun geste concret afin de protéger la vie d'une adolescente de 15 ans, Rébecca Lévesque, qui est décédée d'une violente septicémie au centre jeunesse où elle vivait, à Lévis, le 13 février dernier.

Même si l'adolescente a présenté durant toute la nuit des symptômes qui démontraient qu'elle était gravement malade et qu'une infirmière d'Info-Santé lui a dit d'aller à l'urgence si son état ne s'améliorait pas, personne au centre jeunesse n'a jugé bon de la transporter à l'Hôtel-Dieu de Lévis. Dans un rapport de sept pages dont Le Soleil a obtenu copie auprès du père de la victime, le coroner Luc Malouin condamne vigoureusement qu'on n'ait pas amené l'adolescente à l'hôpital, alors que tous les signes pointaient vers cette décision.

«Elles [les membres du personnel du centre jeunesse] l'ont regardée crever, crisse! Elles l'ont regardée agoniser ben raide!» a lancé le père de Rébecca, Martin Lévesque, mercredi midi, après avoir pris connaissance du rapport produit par M. Malouin. M. Lévesque était visiblement secoué d'apprendre les circonstances de la mort de sa fille.

Le décès de Rébecca «aurait dû être évité», a ajouté l'avocat de M. Lévesque, Me Jean-François Bertrand. «Elles [les membres du personnel du centre jeunesse] ont eu toutes les possibilités de le faire, et elles ne l'ont pas fait. Les premiers mots qui me sont venus à l'esprit en lisant ce rapport, c'est négligence crasse et grossière. Il n'y a pas d'autres mots pour qualifier ça.»

Éléments troublants

Parmi les éléments troublants du rapport, on apprend que c'est une cadre du centre jeunesse, de garde dans la nuit du samedi 12 février au dimanche, qui a décidé de ne pas faire conduire l'adolescente à l'hôpital. Vers 0h50, la gardienne de nuit qui surveillait les jeunes du centre l'a appelée, afin de l'informer que Rébecca ne cessait de vomir. Elle avait aussi déféqué dans ses vêtements et elle était passablement désorientée.

«La cadre lui a dit [à la gardienne de nuit] qu'elle [Rébecca] semblait faire une gastro et de la garder à l'unité», peut-on lire dans le rapport du coroner, qui a notamment été préparé à partir de l'enquête réalisée par les policiers de Lévis et de la Sûreté du Québec (SQ). Les policiers ont interrogé les employés du centre jeunesse afin de connaître leur version des faits.

La gardienne de nuit ne semblait pas non plus croire que la vie de Rébecca était en danger, car elle a mentionné dans son rapport que l'adolescente jouait la comédie.

«Je crois qu'elle exagère», a-t-elle écrit.

Cette initiative de la cadre a visiblement dérangé le coroner Malouin, surtout que l'adolescente avait appelé une infirmière d'Info-Santé vers 22h, le samedi, pour lui dire qu'elle avait des problèmes d'hallucination, de vision et qu'elle avait mal dans le dos et à la tête. Rébecca, qui souffrait aussi d'arthrite juvénile, disait même avoir de la difficulté à voir les autres filles hébergées au centre jeunesse.

L'infirmière avait dit à Rébecca d'aller à l'urgence si son état ne s'améliorait pas au cours des deux prochaines heures. Cette information a été transmise à l'intervenante qui était en service le soir, pour ensuite être répétée à la gardienne qui travaillait de nuit. Quand la gardienne a appelé la cadre à son domicile, elle ne lui a jamais dit que le service Info-Santé avait été appelé plus tôt.

Une procédure au centre jeunesse est pourtant établie pour les situations où un enfant est malade les soirs et les fins de semaine.

«Nulle part dans cette procédure on ne demande au cadre de garde de prendre la place de l'infirmière d'Info-Santé, écrit le coroner Malouin. Au demeurant, ce n'est pas de sa compétence, et l'infirmière d'Info-Santé est la mieux placée pour donner un conseil.»

Détérioration de l'état de Rébecca

Tout au long de la nuit, la situation de la petite Lévesque n'a cessé de se détériorer. Elle a vomi et elle a fait ses besoins dans ses vêtements. À 3h54, elle est allée de nouveau aux toilettes. Elle a dit à la gardienne qu'elle était incapable d'ouvrir la porte de sa cabine. Elle était nue, refusait de s'habiller et elle avait des problèmes importants de vision.

Des agents de sécurité ont alors ramené Rébecca dans sa chambre. Au cours de la nuit, la gardienne a fait changer Rébecca de chambre, car celle qu'elle occupait au début de la soirée était devenue trop malpropre en raison des nombreux vomissements et autres problèmes de santé de l'adolescente.

Le coroner Malouin a aussi dénoncé le fait qu'entre 5h30 et 10h30, heure à laquelle Rébecca a été trouvée morte par l'intervenante, personne n'est allé auprès de la jeune femme afin de s'enquérir de son état de santé. Autant la gardienne de nuit que l'intervenante qui a pris son relais à 7h30, dimanche, ont jugé suffisant de regarder par la fenêtre de l'adolescente afin de connaître son état de santé. Cette intervenante est la même qui était de service le samedi soir et qui savait que Rébecca avait appelé Info-Santé. Rébecca est demeurée couchée durant ces cinq heures, et son décès est probablement survenu aux alentours de 7h30, dimanche.

«Comment connaître l'état de santé de la personne couchée dans le lit et s'assurer qu'elle va bien si on ne fait que l'observer à travers la vitre et que l'on ne s'approche pas d'elle?» s'interroge le coroner Malouin. «Dans le présent dossier, avec toutes les informations qu'on avait sur les dernières heures de Rébecca, ses vomissements et autres problèmes, c'est tout simplement inacceptable de ne pas avoir été s'assurer qu'elle allait mieux.»

M. Malouin affirme que la petite aurait pu être sauvée si on était allé la voir régulièrement dans sa chambre, et non en jetant un coup d'oeil par la fenêtre.

«Il est incroyable qu'on décède d'une septicémie en 2011 alors qu'on est sous la garde d'un centre jeunesse, organisme visant à prendre en charge, à protéger et à aider les jeunes en difficulté», conclut M. Malouin dans son rapport.