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La DPJ intervien mais se trompe d’enfant

EXCLUSIF. Une mère de famille reproche à la Protection de la jeunesse d’être intervenue à tort auprès de sa fille de 6 ans, à la sortie des classes de l’École Sainte-Thérèse de Saint-Agapit, sur la Rive-Sud de Québec. 

Allyson Belleau ne comprend pas ce qui a mené la DPJ à intervenir auprès de son enfant.

Comme à l’habitude, Allyson Belleau s’est présentée à l’école le 8 mars, en après-midi, pour récupérer sa fillette de six ans. En arrivant sur les lieux, elle a vu cette dernière dans la voiture d’une inconnue. Voyant que la conductrice ne se dirigeait pas vers l'école voisine, soit le pavillon de l’Épervière, à 500 mètres de là, elle a craint le pire: à un enlèvement.

«J’ai paniqué. Je ne savais pas quoi faire. J’ai vu dans les yeux de ma fille qu’elle ne savait pas quoi faire», se souvient très clairement la mère de famille.

Ce n’est qu'après avoir fait quelques appels que Mme Belleau a appris que c’était la Protection de la jeunesse qui était intervenue auprès de son enfant avant de l’amener au poste de la Sûreté du Québec dans Lotbinière, à Laurier-Station. C’est là qu’elle a pu récupérer sa fillette puisqu’elle n’avait aucun lien avec une enquête en cours.

«La DPJ a bâclé son travail. S’ils avaient fait leur recherche comme du monde, ils auraient su que ce n’était pas la bonne petite fille», clame la jeune femme. La fillette visée serait celle d’une conjointe d’un ex-copain de Mme Belleau. La résidente de Saint-Agapit affirme même que la DPJ lui a assuré qu’aucun dossier n’était ouvert sur sa famille.

Du côté du Centre intégré de santé et des services sociaux de Chaudière-Appalaches, on ne peut ni infirmer ni confirmer qu’une intervention a eu lieu le 8 mars à l’École Sainte-Thérèse pour des raisons de confidentialité. Il va de soi qu’il a été impossible de savoir officiellement si la fille de Mme Belleau était bel et bien en cause dans un signalement.

Mme Belleau affirme qu’elle a réalisé que l’école et la SQ n’étaient pas à blâmer, à la suite d’une rencontre tenue à l’école le 15 mars.

La Commission scolaire dépose une plainte à la DPJ

La Commission scolaire des Navigateurs et l’École Sainte-Thérèse n’ont pas apprécié le déroulement de l’intervention de la Protection de la jeunesse, au point de déposer une plainte.

«On a déploré la situation auprès de la DPJ. C’est la première fois qu’on est au fait d’une situation comme ça», expose Louise Boisvert, porte-parole de la Commission scolaire des Navigateurs (CSDN).

«En principe, l’intervenant de la DPJ annonce sa visite, se présente au secrétariat, s’identifie de manière appropriée avec toutes les coordonnées requises. On lui assigne alors un local pour rencontrer l’élève qu’il souhaite interroger. On se rend chercher l’élève et la rencontre a lieu. Il faut aussi respecter la confidentialité lors de ces échanges. Par la suite, l’intervenant revient au secrétariat avec l’élève. Dans la majorité des cas, on reconduit l’élève dans sa classe et ça se termine ainsi. L’intervenant de la DPJ peut décider de partir avec l’élève et cela demeure dans ses prérogatives. Cela dépend du signalement reçu», décrit Mme Boisvert.

Or, selon elle, l’intervention du 8 mars ne s’est pas déroulée comme tel. L’intervenante de la DPJ a effectivement averti qu’elle passerait à l’école, mais elle ne s’est pas présentée à l’heure indiquée, ne s’est pas rapportée au secrétariat en arrivant sur les lieux, est intervenue directement auprès de l’enseignante et a ensuite quitté les lieux avec l’enfant sans se présenter de nouveau au secrétariat. 

Caroline Brown, directrice de la Protection de la jeunesse, assure qu’il existe une telle procédure où l’identification est obligatoire. Pour des questions de confidentialité, elle ne pouvait ni confirmer ni infirmer qu’une intervention avait eu lieu à l’École Sainte-Thérèse. Elle établit que si jamais un ou des manquements au protocole sont rapportés, dans n’importe quelle école que ce soit, un suivi sera assuré auprès du personnel concerné.

Mme Boisvert rappelle que la Direction de la protection de la jeunesse et la CSDN travaillent de concert pour le bien des enfants. «Il faut que la Protection de la jeunesse soit capable de faire son travail, mais il faut aussi qu’elle respecte les procédures.»